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 Famille Laka

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Nataku Momoji
Nataku Momoji


Feuille de Personnage
Race: Fenrir
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MessageSujet: Famille Laka   Famille Laka Icon_minitimeLun 18 Mai - 15:40

Tael L. Ookami



Famille Laka 430924beast

Kaito Shion DWC - Vocaloid
Âge : Décédé à l'âge de 25ans (2500-2525)
Race : Erufu Ookami de synthèse (Expérience née Elfe)
Pouvoir : Gène B² ; absorption d'énergie vitale
Point(s) Fort(s) : Mâchoire extrêmement solide
Point(s) Faibles(s) : Nataku
Sexe :
Lieu de naissance : Nekotopia
Statut : Esclave ; embrigadé dans des combats de chiens ; autrefois héritier Laka
Lieu d'habitation : Restes enterrés dans un cimetière de Rosaire
Mère biologique : Medeline Llyod
Père biologique : Hallen Laka
Frère et sœur : Cielle Laka ; Nataku Momoji (sœur d'adoption)

Histoire :
Une histoire débute souvent par un début. Alors il vous semblerait donc nécessaire de connaître de plus près la petite enfance du jeune garçon, Tael, à l’origine. Dans cette histoire, si peu commune, le nommer me semblait pourtant inutile…

Sa naissance ne fût que bonheur et sourires. Sa mère, son père, étaient aux anges. Avec lui, ce garçon aux yeux si beaux, était venu une petite fille au sourire magnifique. Comment ne pas être heureux ?
La maman en question était une grande cantatrice. Sa voix résonnait dans tous les opéras, son nom était sur toutes les lèvres. On l’applaudissait sans cesse, on en redemandait.
Le père, lui, manageait sa femme. Ils passaient leur temps ensemble, et il était impossible de les séparer l’un l’autre.
Ils s’étaient rencontrés dans une petite ruelle. Elle regardait les affiches, collées au mur et pourtant à moitié décollées, sur lesquelles, il s’en souvenait encore, était représentée la liste des personnalités qui assisteraient à un opéra d’envergure. Il s’était arrêté derrière elle et lui avait murmuré que si elle le voulait, elle pourrait être une invitée d’honneur à ce concert. Elle s’était retournée et lui avait sourit, lui répondait timidement qu’un jour, ce serait elle qui serait en haut de la liste, et pas comme invitée d’honneur. Ses yeux brillant d’étoiles désormais éteintes.
Plusieurs années avaient passées, elle avait percée dans le milieu, et avait eu ces deux jumeaux, qu’ils avaient attendus avec impatience.
L’argent n’étant pas réellement un problème, les enfants étaient gâtés au possible. Malheureusement, comme dans toutes les familles, il y a une tragédie. La jeune femme, Medeline de son prénom, tomba malade. Un grave cancer, atteignant son seul point faible, sa gorge.
Affaiblie par les chimiothérapies et les efforts qu’elle exerçait sans cesse pour chanter tout de même, la jeune femme finit par s’éteindre, lors de son concert d’adieu, tombant sur le sol froid de la scène.
Le père ne se remis jamais de la mort de sa femme. Et même si certaines mauvaises langues disent que son désespoir était plutôt lié au fait que ses finances se sont rapidement effondrées suite à la mort de sa chanteuse, le résultat reste là : Il se suicida, après avoir confié les enfants à un orphelinat.


Dans le plus profond des bois, il y avait cet orphelinat. Il n’y avait pas d’avant, et aucun futur, pour ces deux enfants qui, accompagnés par des inconnus, se dirigeaient vers ce lieu, réputé sans faille. Ils essayaient de sourire, malgré le profond malheur qui venait de les atteindre. Ils essayaient de faire semblant d’être heureux, de combattre ce chagrin.
Cet orphelinat, leur avait on dit, est le seul de la région. Il a la réputation de gérer parfaitement les enfants comme eux, qui n’avaient plus rien, hormis eux-mêmes.
Les deux enfants avançaient doucement, pressés par les adultes. L’établissement sembla sombre, bien trop sombre, au jeune garçon qui pressa plus la main de sa sœur, voulant être courageux. Pourtant, il avait peur.
La nuit commençait à tomber. Bientôt, il ferait nuit.

-Aller, on se dépêche !

La chambre semblait bien petite, pour le petit garçon aux cheveux noirs. Il se recroquevilla dans un coin, regardant sa sœur s’éloigner. Cette nuit, il ferait froid. Il n’y avait pas de chauffage dans les chambres. Du bois vieux, usé, pourrit. Des lits de camps. Un sourire ironique se dessina sur les lèvres du jeune enfant alors qu’il se rappelait le passé.
Le visage de maman… Ses lèvres, d’où s’échappaient des baisers bien plus doux que le miel. Son sourire, lointain, oublié. La chaleur de son corps, lorsqu’elle le prenait dans ses bras.
Sa voix, aussi… Suave, mélancolique et pourtant si pleine d’amour. Elle chantait si bien…

Le jour s’était levé, et les larmes salées versées durant la nuit s’étaient taries, laissant place à un visage de glace. L’enfant regardait les autres s’amuser, dans la cour de l’orphelinat, sa sœur aussi, sûrement. Il les regardait tourner en cercle. Bientôt, il du s’asseoir, la ronde lui donnant mal à la tête.

-Kagome, kago… Attendez !

Les enfants s’arrêtèrent. Une petite fille aux cheveux roux s’approcha de lui, se pencha.

-Viens jouer !

Alors qu’elle souriait, elle lui prit la main. Le jeu débuta.

La nuit succéda à la journée. Les petits enfants s’étaient couchés. Maintenant, des bruits dans le couloir. Tout le monde dormait, sauf lui. Ces bruits de pas.
Un cri déchira les entrailles de la nuit. Petite voix féminine, petite voix enfantine. Puis, elle s’éteignit, et ce fût comme si elle n’avait jamais existée. Le petit garçon se recroquevilla dans son lit. Elle n’avait jamais existée.
On ne revit plus la petite fille aux cheveux roux.

Les jours passèrent. Chaque nuit, un enfant disparaissait, ne revenant jamais. La peur semblait s’installer de nuit dans le cœur des enfants innocents, petits orphelins.
Et puis, ce fût son tour.
Une personne habillée de blanc ouvrit la porte de la chambre, et le petit garçon se redressa sur son lit. Sans se débattre, il le suivit, gentiment. Il ne prononça pas un mot, il devait certainement avoir très peur.

Les pas menaient jusqu’aux sous-sols, où était installé un laboratoire provisoire. Là, il revit les enfants qui avaient étés perdus, enfermés, attachés, putréfiés.
Dans des cages, avec des oreilles ou des cornes, avec des yeux vides, désespérés, ou avec un dernier rictus. Des petits cadavres difformes traînaient par terre, certains avaient eu la tête coupée, d’autres étaient mutilés. Le petit garçon frémit, mais ne se débattit pas.
Il ferma les yeux, une dernière fois, laissa son esprit se fermer.

La suite lui semblait floue, inexistante. Il s’imaginait mort, à cet instant. Tout avait disparut, mort en noir, dans le noir de cette pièce.

-Si tu veux manger, il va falloir que tu dévores ça.

Une petite fille désormais aux cheveux roses. Des oreilles tombaient maintenant dans ses cheveux. Elle tremblait. Le garçon s’approcha d’elle. Elle avait peur. Elle ferma les yeux, se dit que c’était finit.
La faim. Bien plus qu’un point faible. C’est une arme diabolique, une méthode pour contrôler aisément n’importe qui. Tuer, la mort, la faim. Tout ceci n’est pas si différent. C’est ce qu’aurait pensé le petit garçon, s’il avait pu réfléchir. Mais il ne se rappelait plus de rien. Sa vie d’autrefois était devenue un lointain souvenir. Son libre-arbitre avait laissé place à un instinct de survie. Ses lèvres autrefois souriantes laissaient place à un rictus effrayant.

L’orphelinat tombait en poussière. Des cris, des pleurs, et puis plus rien.
Le laboratoire avait quitté les lieux, disparaissant, entraînant avec lui la légende d’un orphelinat qui aurait accueilli tout le monde, sans discrimination aucune.

Il restait peu d’enfants, désormais. Plus aucun n’était humain, c’était un fait établi. Peut-être en restait-il quatre, peut-être une dizaine, de ces enfants qui semblaient pourchassés par le malheur.
Ils mourraient peu à peu de faim.
Le petit garçon revoit sa sœur, comme si elle était toujours présente. Peut-être l’était-elle. Touchée elle aussi par la difformité affligée aux orphelins.
La grande porte du hall finit par s’ouvrir, les enfants rongèrent leurs chaînes ou leurs membres, se libérant de cette pièce froide. Ils s’enfuirent dans les bois.

La petite fille portant son frère, comme elle le pouvait. Ses jambes ne répondaient plus, juste ce visage, souriant, et ces yeux vides, si vides.
Le petit garçon qui avait fermé son visage ne répondait plus.
Les jours qui suivirent, il se laissa mourir de faim.

Puis, alors que sa sœur dormait à poings fermés, il se leva du tapis d’herbes froid où il dormait, s’approcha doucement d’elle. Ses yeux fermés, magnifique, son léger sourire alors que le sommeil la berçait… Il ouvrit la bouche et croqua.

Le bruit d’une calèche stoppa l’histoire, le dernier acte de ce qui aurait dû être une tragédie. Il se retourna, regarda. C’était… Un cirque. Le garçon s’approcha. Ce cirque, ce n’était pas un cirque comme on en voyait encore, comme il en avait vu avant que la tragédie ne frappe sa famille. Il semblait plus sombre, plus… Effrayant. Le gérant sortit de la calèche, et regarda longtemps le petit garçon, qui ne l’était plus réellement. Puis, il jeta un œil sur la jeune fille, réveillée par la morsure. Il souriait, puis entraîna les deux enfants à l’intérieur.

Le noir. De la lumière, projetée sur une cage, de la lumière dans ses yeux, et des spectateurs qui riaient alors qu’on lui offrait de la viande sanglante.

Peut-être… Peut-être était-ce une merveilleuse affaire, pour le gérant de ce cirque, d’engager un Ookami bleu, ce qui est, on le sait bien, assez peu commun. Que cet ookami soit sauvage au point de dévorer de la viande froide ou même vivante… Cela faisait toujours son petit effet sur le public. La sœur, elle, avait une voix magnifique, sublime. Elle captivait les foules. Pourquoi passer à côté de cela ? De plus, en menaçant la sœur, il évitait tout acte de rébellion de la part du frère, qui de toute façon, semblait incapable de se révolter réellement.

Rien, à nouveau le vide. Il doit avoir les yeux fermés.

Voilà, le temps a passé. Il se souvient d’une halte en ville.


[...]

De… La lumière. C’était de la lumière qu’il voyait. L’éclat bien trop dur de ces rayons lumineux se reflétait dans ses yeux. Son corps fut prit d’un spasme, il tremblait. Depuis combien de temps son estomac le lancinait-il ? Il avait faim Bien plus faim que d’habitude. On l’avait affamé… Pour quelque chose. Il se sentait mal. Très mal. Il se plia en deux, entendit des rires au fond de la salle. Mais où se trouvait-il ?!
Un juron semblait passer derrière ses yeux alors qu’il relevait la tête. Trop de lumière. Bien trop pour voir quelque chose. Un cri, puis, plus rien.

Dans la petite cage de l’animalerie, il s’était encore affolé. Il avait encore grogné, s’était encore débattu, malgré la camisole de force qui lui bloquait les bras, malgré les nombreuses chaînes qui l’attachait aux barreaux.
Le cliquettement de ces chaînes… Elles le rendaient fou. Il fallait… Il voulait… Prendre la fuite, partir d’ici… Et la nourriture…
Il avait toujours aussi faim, comme s’il allait mourir, s’il n’arrivait pas à avaler quelque chose dans les secondes qui suivaient.
Spasmes de douleur. La faim, intense, devenait bien trop impossible à contenir. Pourtant, il faudrait encore attendre… Attendre… Deux heures. D’ici deux heures, la lumière se fera dans le petit magasin, et l’employé arrivera pour nourrir les hybrides. Ce ne serait qu’à la fin qu’il serait nourrit. Lui qui était dans cette cage « spéciale ». Oh, il ne fallait pas le prendre pour un idiot. Il comprenait tout de même énormément de choses. Cette cage, bien trop petite et pourtant plus grande, c’était une cage destinée aux « jouets ». Ceux qui se retrouvent enchaînés pour les personnes riches, pour satisfaire toutes sortes de vices. Il avait entendus deux hybrides en parler. Pourtant, lui, ne parlait pas. Il avait… Peur. Et pourtant, il haïssait tant, que cette peur ne faisait pas surface. Et il avait tellement faim que toute démonstration de haine lui semblait impossible.

Bruit de pas, la porte s’ouvre.

Il leva difficilement le regard. Il n’aimait pas la lumière qui apparaissait dans l’entrebâillement de la porte. A vrai dire, il détestait la lumière. Après tout, les ténèbres allaient mieux à son apparence, n’est-ce pas ?
Trop long. Attendre qu’on le nourrisse, c’était trop long. Chaque seconde était… Insupportable. La douleur… La douleur de la faim. La douleur du manque de nourriture ... Ah, c’était ridicule !
Enfin, ce fût son tour. D’une main tremblante, l’employé tenta de dégrafer sa muselière. Celle-ci tomba sur le sol de sa cage. Il retira vivement sa main, mais celle-ci buta contre les barreaux. Et puis, c’était trop tard. Il hurla. Il hurla très fort alors que ses os se rompaient sous une mâchoire de fer. Il semblait paniqué, se débattait.
Enfin, une autre employée passa la porte. Elle vit la scène, paniqua elle aussi. Lui, il se contentait tout simplement de penser qu’ils étaient ridicules, rien d’autre. Qu’importe ce qui se passera après.




| Tael Laka est né en même temps que sa soeur jumelle, Cielle. Suite au décès de sa mère après une longue agonie, son père se donne la mort et les enfants se voient envoyés dans un orphelinat en bordure de Nekotopia. L'orphelinat est sous la coupe d'Hémato qui prendra grand plaisir à changer les enfants qu'on y abandonne en hybrides, étudiant ainsi les possibilités de changer la race. Les monstres ainsi crées sont parfois revendus aux magasins de la capitale.
Lorsqu'Hémato n'eut plus besoin de cobayes, il abandonna l'orphelinat et laissa les sujets d'expériences à leur triste sort. Cielle, devenue Hitsuji, prit alors le parti de se sauver avec son frère devenu entre temps amorphe. Après l'avoir changé en Ookami, Hémato avait effectivement jugé utile de continuer les recherches vers une tournure comportementale: on avait appris à l'enfant à se nourrir de la chair de ses semblables.
Les deux chérubins furent recueillis par le Dark Woods Circus jusqu'au jour où le cirque revint en Nekotopia. Là Tael fut volé par un marchand sans scrupules qui le vendit à prix d'or à une dénommée Zune De Laudreuil.
La jeune femme devait se rendre en Rosaire pour prendre soin de sa mère, Furu S. Raiquiem, souffrante à cette époque. Elle emmena donc l'esclave avec elle. Cependant celui-ci, sauvage, finit par trouver le moyen de s'échapper et pour le punir, Zune s'arrangea pour que sa fuite le mène vers un dénouement des plus sordides.
Il arriva dans un village humain où un homme payé par son ancienne maîtresse le récupéra. Car Tael avait été contaminé par le Gène B², ce dernier pouvait se transformer en loup sous l'effet de la douleur. Cela tombait plutôt bien car son nouveau maître organisait des combats de chiens.
Il se lia d'amitié avec une des canidés du mouroir. Elle s'appelait Nataku et le jeune hybride finit par la considérer telle une sœur. Il en vint à tant s'attacher à elle que le jour où Zune lui proposa de rentrer enfin au bercail, il refusa, préférant rester auprès de Nataku pour veiller sur elle.
Zune se vengea alors en s'arrangeant pour que Tael et Nataku s'affrontent dans un combat à mort. Tael se laissa exécuter, refusant d'avoir à tuer celle qui comptait à ce point pour lui.

Physique :
Eh bien, nous voyons un visage ovale, magnifique. Plutôt… Androgyne ? Oui, assez féminin. Une peau… Extrêmement blanche. C’est qu’il n’a pas réellement l’occasion de sortir, ces derniers temps. Pourtant, une peau si blanche… Bref, passons.
Il y a bien ces yeux. Ce n’est pas typé européen, ce n’est pas typé asiatique non plus. Pas trop grand, pas trop petit, mais légèrement large. Et puis ces pupilles… Ah, bien entendu, elles ne reflètent pas grand-chose. De la faim ? De l’ironie ? Personnellement, je n’aime pas ce regard. On dirait qu’il vous prend de haut. Oui, donc, je disais… ? Ah, oui. Ces pupilles sont bleus/vertes. Un peu comme les algues. C’est assez… Joli, oui, mais elles sont trop petites pour des yeux si bien formés. C’est… Dommage. Non ?
Le nez est visiblement typé européen. Il n’y a aucun doute à avoir là-dessus. Droit, mais ni trop long, ni trop gros. Non, c’est un joli nez européen. L’arrête en est bien droite.
La… Bouche ? Contrairement aux bouches assez larges que l’on croise, celle-ci n’est pas équipée de lèvres difformes. Non, des lèvres fines sans l’être trop, une bouche un peu large mais pas si grande… Ah, sa langue en dépasse.
Voilà. Pour les cheveux ? Eh bien, comme vous pouvez le voir, c’est du bleu. A peu près la même couleur que les yeux, en moins vert. D’où vient une telle couleur ? Je n’en sais rien. Vous avez lu l’histoire ? Il doit l’avoir acquis en même temps que ses oreilles.
Ils ne sont pas coupés court.
Donc, les cheveux mi-long, coupés au niveau de la nuque. Une frange dont les mèches lui tombe sur les yeux.
Hmm… Personnellement, j’aime bien son cou. Pas vous ? La nuque est bien dessinée, et l’angle entre les épaules et la gorge est assez… Appétissant ? D’accord, ce n’est pas à moi de juger.
La gorge, oui, passons-y rapidement. C’est rare, une gorge d’homme sans pomme d’Adam. Pourtant, la sienne en semble dépourvue. Elle est mince, fine, sans être efféminée.
Son... Corps ? Il fait un mètre soixante neuf pour une quarantaine de kilos. Oui, c’est qu’on les nourrit bien, ici.
Que rajouter d’autre ? Il a les dents aiguisées. Surtout les canines, un vrai vampire ! (Je plaisante, je plaisante.)

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Zune De Laudreuil
Zune De Laudreuil

partie moisir dans un coin

Feuille de Personnage
Race: Vampire
Pouvoir: Télékinésie
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MessageSujet: Re: Famille Laka   Famille Laka Icon_minitimeLun 18 Mai - 20:24

Neither Laka



Famille Laka 408906Image6

Mukuro - Hitman Reborn
Âge : Décédé à l'âge de 16ans (2584 - 2600)
Race : Hybride Ookami
Point(s) Fort(s) : Solide ; déterminé
Point(s) Faibles(s) : Égoïste ; Kiku
Sexe :
Lieu de naissance : Laboratoire Nekotopien
Emploi : Esclave personnel de Kiku Wolfberg
Lieu d'habitation : Cimetière des Méandres
Conjoint : Aimait Kiku Wolfberg
Mère porteuse : Lila Laka
Sœur : Claudia Laka

Histoire :

Né dans un laboratoire Nekotopien par une mère porteuse, sujet d'expérience quotidien visant à modifier le genre hybride, bientôt considéré comme un déchet, il fut récupéré par Iemitsu Wolfberg qui travaillait en cette époque dans les locaux. Il avait quatre ans.
On offrit le jeune Ookami en cadeau d'anniversaire à Kiku Wolfberg qui ne lui trouva aucun intérêt et l'oublia après quelques blessures infligées par jeu. Il grandit ainsi, délaissé dans une famille qui le maltraitait.
Des années plus tard, il finit enfin par trouver la bonne occasion de s'échapper. N'hésitant pas, il tua ses maîtres dans leur sommeil et s'enfuit par la fenêtre de leur chambre.
La vie ne fut pas tendre avec lui et ce dernier vécu de rapines et de meurtres jusqu'au jour où les forces le lâchèrent peu loin de l'endroit où il avait tant souffert. Kiku qui rôdait dans les bois autour de son manoir aperçu l'Ookami évanouit dans la neige comme sa prochaine victime. Ce fut au moment de lui donner le coup fatal qu'elle vit une image assez vague pour lui donner soupçons. Elle décida de le garder en vie, sans pour autant l'épargner.
Un syndrome de Stockholm, né de la culpabilité d'avoir tué ses anciens maîtres poussa Neither a éprouver des sentiments pour Kiku. Cependant, leur caractère respectif les empêchait de se rapprocher plus que cela et leurs contacts se faisaient uniquement par la violence.
Un jour Wakai entra dans la famille et y força l'entrée de 17, l'esclave de la sœur par alliance de Kiku. Le brouhaha autour de l'idée créa une guerre intestine et Kiku fut assassiner un jour sans qu'il n'en sache rien. Lorsque le cadavre fut découvert sous les planches de la maison, des mois plus tard, on accusa Neither du crime et on le pendit haut et court. Il ne trembla pas l'heure de sa mort venue et lança un regard narquois à la foule le regardant. Quelque part, il regretta à la toute fin de ne pas avoir eu une meilleure relation avec la fille qu'il aimait.

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Famille Laka

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